Tant que nous sommes vivants, livrons avec sincérité notre vérité. Choisissons de nous défaire de la violence que cause en nous le silence, l’Univers se chargera de manifester chaque mot qu’on exprimera à l’écrit ou à l’oral pour nous justifier sur Terre et dans l’Au-delà lorsque nous partirons. Alors, témoignons !

Les innombrables questions reçues de votre part afin de savoir comment je me porte depuis les évènements que j’ai relatés dans les précédents récits, a entraîné en moi le désir de m’exprimer pour me libérer tant bien que mal de l’accablement qui m’habite engendré par ces faits graves que j’ai subis. La manière que j’ai choisie pour vous répondre est l’écriture, car j’affectionne particulièrement ce mode de communication et d’expression, du moins pour le moment…

Comme beaucoup d’entre vous en ont été témoins via Snapchat, j’ai littéralement fait une super crise de nerf et marché sur les braises de l’enfer après avoir publié les deux récits que j’ai rédigés pour dénoncer les sombres agressions dont j’ai été victime, en vous révélant clairement les identités des protagonistes responsables de ces faits par souci de transparence et vérité. Dieu que ce fut compliqué de manager mes ressentiments !

Avec l’un dont je bouillonne d’envie de nommer avec haine le suppôt de satan, mais à la place j’userais de mon légendaire mépris à l’égard d’insignifiants individus de son genre et l’appeler « l’autre » parce qu’il est un odieux personnage.
La gestion de notre conflit avec celui-ci fut hyper houleuse et difficile à supporter comme à l’accoutumée, autant vous dire que mes émotions ont été mises à mal. Des contre-offensives il y’en a eu, me sentant obligée de lui extérioriser l’aversion viscérale que je lui porte (ce qui ne changera pas jusqu’à ma mort) mais aussi me défendre lorsqu’il avait le toupet de répliquer en contactant par exemple mon papa avec la lâcheté qui le définit parfaitement, malgré les torts qu’il a causé à sa propre fille, j’ai dû sortir hors de mon caractère en adoptant un comportement indigne de l’éducation qu’ils m’ont donnée et les valeurs qu’ils m’ont inculquée lui et ma maman, proférant avec fougue à son égard d’acerbes et déshonorantes injures, lui écrivant des mots très durs que j’admets insupportables, inacceptables à lire pour n’importe quel Être humain, tout cela par unique désir de vengeance. Consciente de la cruauté dont je faisais preuve, je continuais dans ma lancée car mon seul but était de blesser mon « adversaire » de la même manière qu’il a déchiqueté mon cœur et failli m’ôter mon âme.

La bataille d’une femme blessée, des décisions regrettables, le mépris d’un homme face au mal qu’il a commit à l’encontre de tous

Insulter, hurler, m’engager dans une guérilla orale et écrite voire provoquer c’était les seules armes que je décidais de déployer à l’endroit de « l’autre », bien que nous vivons à l’ère où tout est enregistré et capturé, je ne me souciais aucunement de l’éventualité d’être publié par lui, raison pour laquelle j’ai pris la décision d’écrire cette histoire pour que le jour où cela arrivera vous connaissiez la racine de mon courroux et la raison pour laquelle je lui jetais du souffre, d’ailleurs qu’il le sache je lui ai volontairement servi du contenu, il a de quoi poster.
Je vociférais sans une once de retenue tout ce que je ressentais et était enfoui en moi résultant de cette traumatisante épreuve, j’ai verbalement tiré à la hauteur de ma capacité.
Certaine qu’en agissant de la sorte j’en éprouverais une jouissive satisfaction ou plus illusoire encore que je m’accaparais un indubitable pouvoir, je ne me rendais pas compte que je m’infligeais du tort ainsi qu’à mes proches. Indépendamment de ma propre volonté je leur ai fait goûter le fruit infect des graines de la brutalité semées en moi par « l’autre ». Ni moi ni les membres de ma famille que j’aime tant en étions honorés.
Les émotions négatives se sont aisément introduites en moi car je leur avais ouverte la porte de mon Être, elles ont finies par prendre le dessus sur ma sagesse, impossible de faire des choix réfléchis par rapport à cette situation car j’étais conduite par une hargne intense qui influait sur mon comportement. Je vous l’avoue j’ai détesté descendre à un niveau auquel je n’appartiens pas, le plus bas qui soit.
Quelle action aurais-je pu mener si ce n’est tenir des propos agressifs et menaçants vu la profondeur de mes blessures ?
J’avais en face de moi « l’autre », un homme qui sans scrupule a commandité mon agression à la fin de l’année 2012, qui savait pertinemment que ses proches m’avaient frappés et volés, de surcroît il a tenu entre ses mains l’un de ses biens qui m’ont été dérobé, mon téléphone. Laissez-moi vous affirmer que l’objectif de cette action préméditée était tout bonnement de récupérer et d’effacer ses photos sexuelles que j’avais menacé de publier lors d’une dispute, cependant je les avais déjà enregistré ailleurs sous les conseils d’une copine car selon elle je ne devais pas lui accorder ma confiance, il pourrait décider de s’en servir à mauvais escient, donc le fait de posséder aussi ses images me placerais dans une position d’égalité. Entre temps la loi relative au Revenge Porn a été promulguée, personne n’aura désormais l’opportunité de diffuser ces photos, bien évidemment je ne l’aurais pas fait puisqu’il détenait les miennes aussi !
Il m’avouera en 2020 tout en se délectant avoir fouillé dans mon téléphone et donc sciemment violé mon intimité, il était pertinemment au courant de mon calvaire mais n’a pas daigné bouger le p’tit doigt ne serait-ce que pour savoir ce qu’il s’était passé ou si j’allais bien. RIEN il a été machiavélique, sa préoccupation première était la suppression de ses images coquines dans mon téléphone, avais-je réellement besoin des clichés de sa nudité puisque je la connais comme personne ?! (Celle-là je la place sans gêne).
Vous savez, au regard du dédain qu’il a affiché face à mon trauma que je lui avais exprimé suite à la violation de mon intimité, j’aurais normalement dû l’éliminer moi-même comme John Lennon le fut, pan pan ! Parfois je regrette de ne pas être une mauvaise personne, une sorcière, dommage quand même…vraiment !

La crainte de se venger, le manque de prise de conscience de la part de « l’autre », son refus d’assumer sa responsabilité 

Étant incapable de leur rendre le mal par le mal à ces « bons chrétiens » et les toucher physiquement en envoyant des voyous leur arracher ce qui leur servent de dents alignées dans leurs boîte à camembert, les faire déshabiller, leur déverser de la peinture chaude ou de l’acide sur leurs parties intimes, pour ensuite finir en beauté en leur dépossédant aussi de leurs téléphones comme je l’avais planifié depuis des mois et des mois, j’ai opté de leur lancer des invectives brûlantes, plus particulièrement à « l’autre ».
Mes terribles plans n’ont pas été mis  à exécution car que vous le croyez ou non une pensée pour leurs parents m’a traversée l’esprit, mais surtout en toute sincérité, je craignais de faire un tour en prison et refusais catégoriquement d’y être emmenée. Il faut le dire, je respecte la liberté dont j’ai été affranchie dans tous les domaines de ma vie, c’est une grâce, j’aime le confort de mon appartement qui est mon havre de paix, il n’était donc pas envisageable pour moi de devenir une prisonnière dans un lieu où règne l’insalubrité, le vice, le désespoir, la violence, je ne suis pas une enfant du diable pour vivre dans un cachot crasseux le temps de purger une quelconque peine, ce n’est pas ma place, j’ai alors abandonné le projet de rendre le mal par le mal grâce à Dieu !

À partir du premier message fielleux qu’il a reçu de ma part, « l’autre » aurait dû simplement intégrer dans son esprit que son passé peu glorieux venait toquer à sa porte, puis, tel un vrai homme prendre les dispositions nécessaires pour éviter que la situation ne s’embrase, pour ma part c’est ce que j’aurais fait, parce que je suis une femme de dialogue, celui qui s’approche de moi pour me solliciter une conversation recevra une réponse favorable pour ce faire à condition que je le veuille, contrairement à « l’autre », j’aurais volontiers saisi cette opportunité en vue de retirer l’épée de Damoclès déposée sur ma tête, conséquence des pleurs et prières d’accusations élevés à Dieu par la personne que j’ai outragée jadis.
« L’autre » préférait transférer à mon papa tous les pavés et les audios que je lui envoyais dans le but de me faire passer pour une femme querelleuse, méchante, agressive, amère, d’ailleurs ce que son ex F.T m’avait révélée explique beaucoup de choses relatives à ses actes de lâcheté, il a toujours comploté contre moi, j’ignorais qu’il était mon ennemi sinon je ne lui aurais jamais rouvert la porte de ma vie et redonné l’accès à mon corps.
Sachez-le je me permettais de tels agissements puisqu’en tant qu’homme il ne méritait pas mon respect, je le hais avec passion car il est à la tête de l’agression que j’ai subie et exécutée par ses proches sous ses ordres, c’est le seul responsable de cette violence ! Il a réussi à me  faire sortir de mes gonds, m’a influencée à proférer ce que je n’ai jamais vociféré à un homme et pour cela je ne pourrai lui pardonner, il est impardonnable ! IL POURRA M’ACCUSER DE TOUT POUR SE JUSTIFIER ET SE RASSURER MAIS IL SAIT QUE JE N’AURAIS JAMAIS ENVOYER DES GENS LE FRAPPER ET POUR COURONNER LE TOUT VOLER SON PORTABLE ! Cette essence satanique ne coule pas dans mes veines, personne dans ma lignée familiale m’a léguée cette sorcellerie.

L’épouse tente de s’y mêler et disparaît tel un mauvais esprit chassé par une puissante prière

Avant de m’épancher dans ce paragraphe, je tiens à dire que si un jour une femme se prononce pour dénoncer mon homme et l’accuser de faits graves, je fermerai ma gueule et réfléchirai à la décision à prendre concernant ma vie et éventuellement ma relation avec un homme décrit par une autre comme un monstre. On né seul, on meurt seul pardon. Ce n’est pas parce que mon homme me traite avec tous les honneurs du monde contrairement à celle qui l’accuse, que je peux m’octrouyer le droit d’invalider son témoignage.

Un 30 décembre 2021 à 9h35, sa femme m’approcha via Facebook pour que l’on ait une discussion, quelle ne fut pas ma surprise je ne m’y attendais pas, néanmoins j’étais sûre de reconnaître la patte tremblante de son mari derrière son initiative ! Quand bien même ce n’était pas le cas, en quoi était-elle concernée pour se permettre de me contacter afin que l’on échange ? Que savait-elle de cette affaire ? Sur quel divan était-elle affalée le jour où Lajoie Javotte (cherchez qui est Javotte sur Google) et les « frères de l’église » me violentaient et me dépouillaient de mes biens ? Pourquoi pensait-elle que répandre ses insignifiants centimes dans la fontaine de ce problème allait pencher sur la balance ou quoi que ce soit ? Genre, qui est-elle à part être « sa femme » ? Et j’insiste où était-elle quand sa belle-sœur Lajoie Javotte m’agressait ? Me chamaillais-je avec elle pour le zizi de son mari ou dénonçais-je des faits graves qu’il a commandité ? Alors pourquoi décidait-elle de m’approcher ? Y’avait-il une raison qui la poussait à croire qu’elle était indirectement visée par ces accusations au sujet de « l’autre » que j’affirme au point de m’écrire ?

J’étais vraiment confuse par sa démarche, ces questions m’ont taraudée davantage après avoir remarqué sa disparition à la fin de notre court et bref dialogue, elle s’est aventurée à vélo sur l’autoroute de mon conflit avec « l’autre » pour que sa silhouette disparaisse à l’horizon comme un mauvais esprit vaincu, bizarre, se reprochait-elle quelque chose ?
Je n’avais plus de visibilité sur son « blaz » et sa jolie bouille, cela m’a froissée de ne pas avoir eu le temps de parcourir son compte rhooo mince alors ! Toutefois j’ai reconnu une certaine pratique de dégonflé dans son acte qui m’était familière. Je vous promets, le grumier verbal que je suis l’aurait transporter dans les abîmes du clash, mais pourquoi serais-je descendu dans ces profondeurs ? Je l’ai trouvée un peu hautaine au travers d’une réponse qu’elle m’avait écrite et ne l’avais pas apprécié, toutefois considérer de lui tirer à boulets rouges n’était pas une option car elle ne m’avait pas tant que ça offensé en soit, tomber sur elle pour qu’on me qualifie de femme « aigrie, amère ou pire jalouse » qui s’en prend à l’épouse de celui qu’elle dénonce ? Pitié !! Ma cible était son mari, elle n’était pas un sujet juste un « non-évènement » dans la chronologie des faits, un élément invisible qui n’était pas appelé à apparaître.
Qu’elle lui tienne la main, décide de le croire par rapport à la version de cette histoire qu’il lui a livré de son côté, c’est son choix, je l’ai rédigée avec tellement de précisions que toute personne honnête attesterait la véracité de mes propos, mon ennemi est « l’autre » son époux. Point. Barre.
Le différend m’opposait à son mari, même pas sa sœur Lajoie Javotte, car en réalité elle et leurs toutous y ont  été embourbés à cause de la faiblesse de son frère, s’il avait effectivement porté ses couilles au lieu de se comporter semblablement à une mauviette et pleurer auprès d’eux pour qu’ils interviennent et l’aident dans son inexistante petite guerre avec moi, ils n’auraient jamais été impliqués, au grand jamais !

J’aurais apprécié qu’elle ferme les yeux tel qu’on l’a si bien apprit à la femme africaine lorsque son homme fait face à un scandale, le soutenir même lorsqu’il a tort car il en va de son mariage puisque le préserver vaut plus que sa propre vie ! Vous me le concéderez certainement, cette enseignement tiré des traditions africaines régressives envers les femmes est absurde car il consiste à les conditionner à un comportement qu’elles doivent tenir dans leurs couples malgré les vents et marées provoqués par leurs tintins de maris, ainsi garder notre coeur, ignorer, étouffer une situation délicate voire grave survenue dans le couple c’est ce qu’on nous préconise souvent, chacun use de ce conseil à son bon vouloir, cependant pour ma part j’ai un réel problème avec une femme qui s’irrite à l’égard d’une autre alors qu’elle dévoile les méfaits de son mari.
Se confronter à la victime de son compagnon ou vouloir lui parler c’est se souiller à ramasser les défécations déchargées par lui dans la vie de celle-ci, agir par complaisance et loyauté dans cette situation n’a absolument pas lieu d’être dans la mesure où elle n’était pas présente, non seulement cette loyauté est susceptible d’être trahie car un homme reste un homme (toutes les femmes du monde le savent), se sacrifier pour un homme dans l’optique et l’espoir utopique de réparer les erreurs de son passé et gagner au plus haut degré son cœur est un risque susceptible de décevoir à en rendre malade, enfoncer dans la honte et la dépression, en outre j’ajoute que monter au créneau pour défendre bec et ongles les actes intolérables de son pervers narcissique de mari peut transformer une femme en un espèce de monstre qui lui tient sa main souillée pour faire du mal à une autre, se comporter telle une  « Monique Olivier » ou « Michelle Martin » n’est pas gratifiant au contraire c’est effrayant ! Il y’a des cas comme celui-ci auquel il ne faut pas prêter attention en tant que femme, plus encore lorsqu’on en est pas le sujet.
Nos épreuves individuelles sont assez surchargées faudrait-il encore s’encombrer avec celles de notre partenaire ? Et puis quoi dans le cercueil nous serons seuls à chacun son fardeau et ses batailles !
Ce même jour à 20h07, j’envoyais un message piquant à « l’autre » pour lui informer la tentative de sa femme qui m’avait tellement saoulée, et devinez quoi ? Il le transmit à mon papa ! Si si vous avez bien lu. Sa femme le savait-elle ? Si oui, pourquoi a t-elle cautionné qu’il dérange mon papa ? JE N’IMPORTUNAIS PAS LE SIEN pourtant ! Verte de rage j’ai partagé les messages sur Snapchat lorsque je pondais mes (fameuses) diatribes et continuais mes assauts verbaux à son encontre… 

Santé mentale impactée, disputes familiales récurrentes, la mort aux trousses

Pendant que je me focalisais à réjouir satan en attaquant « l’autre » tout en tenant un langage ordurier, je ne prêtais pas attention aux répercussions de cette histoire sur ma santé mentale mais aussi de ceux qui m’entouraient. J’ouvrais la porte à une énergie lourde imprégnée de négativité, malveillante et dangereuse pour ma personne qui petit à petit prenait la forme d’un  « esprit de mort ». Elle rongeait chaque atome des énergies positives qui se battaient avec difficulté pour dominer en moi, elle se nourrissait des ressentiments qui m’incitaient à faire du mal à « l’autre » au point d’exécuter mes plans car j’éprouvais beaucoup de frustration de ne pas l’avoir fait, il a manqué de peu pour qu’elle gagne la bataille dans mes pensées et m’achève ensuite, mais vraiment de peu…
En effet, les pensées sombres pénétraient mon esprit, les échanges de paroles virulentes avec « l’autre » et les discussions tumultueuses avec ma famille parce que nous étions en total désaccord sur ma façon de procéder et gérer ce problème, ont déteint sur mon moral, mon quotidien devenait pénible et m’irritait énormément, personne ne me reconnaissait ni n’était ravi de mes manœuvres, moi non plus à vrai dire ! Être hors de moi intensifiait ma douleur et me rendait hyper triste, j’étais malheureuse mais en même temps extrêmement furieuse, déterminée à me soulager je persistais à dégainer les invectives envers « l’autre », par dessus-tout lorsque mon papa me rapportait qu’il l’a contacté, vraiment il exagérait un vrai lâche ! Ma famille m’a mise de côté après m’avoir bien évidemment sermonnée, le temps que la tempête passe et discuter dans le calme pour éventuellement trouver une solution, il y’en avait malheureusement pas ! Je souhaitais une seule chose, la mise à mort de « l’autre » j’en étais excédée !

À la suite de ce que j’ai estimé être un abandon, un manque de soutien et une absence de compréhension  de la part de mes proches, d’autant plus qu’ils n’avaient pas encore lu mon histoire, j’ai craqué et pris la décision de mettre fin à mes jours, pour la quatrième fois concernant cette affaire, non pas par faiblesse car je crois que je suis une femme forte, mais parce que j’étais réellement émotionnellement épuisée, je recherchais les réponses relatives aux questions : comment faire pour vivre avec une telle souffrance et peine complètement ignorées par ceux qui me les ont infligé ? Quand la Justice divine sera t-elle faite ? Pourquoi moi ? Ce n’est pas simplement à cause de photos dans mon téléphone qu’il m’a causée autant de tort « l’autre », la proportion que cette affaire a prit ne s’accorde pas à la circonstance ! C’est diabolique ! 
« L’autre » manipulait mon papa avec ses faux airs et discours de garçon gentil qui de surcroît se plaignait de mes réactions, lui transmettant ça et là tous les messages d’insultes que je lui envoyais, c’était sa façon de fonctionner et le demeurera, que ce soit avec C.K, F.T, sa propre sœur, ses toutous, ses parents, son épouse, mon papa, le souci premier d’Élisée oops « l’autre » a toujours été de les convaincre par tous les moyens que je suis nuisible (pourtant plus calme et discrète que moi tu meurs, la personne qui me blesse verra mon côté sombre c’est tout), se justifier de ses actes à la moindre occasion que je lui offre sur un plateau d’argent (crier, l’insulter par messages écrits et audio), telles sont ses intentions de lâche. 

Au regard de cette énième affliction que j’ai endurée à la suite de cette affaire, je me suis résignée à accepter de vivre avec ce poids extrêmement lourd qui fatigue mon cœur jusqu’à la fin de mes jours à mon plus grand regret !
Le femme profondément blessée que je suis n’oubliera jamais le mal que ces gens qui se disent chrétiens m’ont infligée, JAMAIS DE LA VIE.

Prochainement, je publierai l’article qui clôturera définitivement ce traumatisant chapitre de ma vie, (oui l’agresseur sexuel Eddy Malabar sera évoqué aussi).

Kiss !

Rédigé par Diane

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