La malédiction sans cause n’a point d’effet, à combien plus forte raison celle avec cause n’impacterait-elle pas ?
La vie de ceux qui nous ont offensés sans prendre la peine de nous demander sincèrement pardon doit être tourmentée autant que leurs offenses ont nui à la nôtre, je l’ai toujours pensé.
Il n’y a aucune raison qu’ils vivent en paix s’ils refusent d’endosser la responsabilité de leurs actes, se mettre en face de leurs torts et courageusement les reconnaître, tout simplement.
Une pénible dépression
Ces tristes évènements que j’ai vécus m’ont plongée dans une profonde dépression qui dure depuis belle lurette, à vrai dire elle me colle à la peau.
J’ai contemplé plusieurs fois l’option de mettre fin à mes jours, l’envie de mourir m’a enveloppée car je portais l’insupportable souffrance d’être incomprise lorsque j’exprimais mes ressentiments (la colère, la haine, le désir de vengeance) conséquences des violences j’ai enduré, d’être rejetée voire méprisée par mes agresseurs par rapport à ce que j’exprimais, ajoutées à ça l’humiliation et la honte, j’étais accablée, à vrai dire je le suis encore. On m’a blessée en se moquant royalement de l’impact que cela a eu sur ma santé mentale et l’état futur de mon cœur, on m’a touchée, frappée, agressée physiquement par une femme et deux hommes DE L’ÉGLISE et sexuellement par un homme que j’avais choisi de ne plus fréquenter, tout cela en l’espace de peu de temps moi l’enfant d’autrui. Mon trauma a même été minimisé sous prétexte que les faits se sont déroulés il y’a longtemps, cela m’affligera toujours !
Aucune autre intention que celle de dénoncer et tenter de me décharger de ma douleur
Concernant Élisée, car il n’y a pas eu « de clashs d’après dénonciation » avec Eddy Malabar raison pour laquelle je ne fais pas souvent allusion à lui, je n’ai pas attendu qu’il se marie pour dégueuler ma bile furieuse ou plus absurde n’étais animée par une prétendue jalousie car il refaisait sa vie, tout être humain à la possibilité tant qu’il respire de « refaire sa vie », chacun son rythme, chacun son temps, puis cela dépend de la façon dont on conçoit et définit cette notion, mon but n’a jamais été non plus de prouver à sa compagne ou son entourage qu’il est un homme mauvais, il n’a pas été correct envers MOI pas eux, ils n’ont de ce fait aucune raison de partager mon opinion je ne les ai en outre pas invité à me rejoindre dans ma croisade contre leur mari, frère, cousin, ami, donc aucune supposition de ce type n’a sa place dans ces narrations, cela vaut notamment pour Eddy.
Je n’ai rien inventé mes allégations ne sont pas fausses, c’est une partie de leur passé qui les rattrapera toujours le motif étant qu’ils n’ont pas fait le nécessaire pour le réparer, absolument rien. Élisée pourra se défendre en affirmant qu’il a tenté une démarche de pardon, je rétorquerai par-derrière qu’il l’a entreprise parce que j’ai gueulé, cruellement et grossièrement injurié sa personne, de plus elle a été laborieuse, pleine d’hypocrisie, il a tenté de manipuler la situation dans l’optique de me rabaisser, me culpabiliser sur mes réactions afin de remettre en doute l’impact réelle que ce fait grave a causé sur mon état émotionel, son intention n’était pas bienveillante, son coeur n’était clairement pas disposé à la répentance, on ne demande pas pardon pour ensuite révéler avec délectation que l’on a tenu entre ses mains l’objet qui appartenait à la victime et l’avons fouillé violant ainsi son intimité, ce qui incidemment constitue une véritable preuve de ce qu’il avait planifié contre moi. Cet aveux est effarant, il en avait rien à foutre son plaisir était ma douleur ! Que pouvais-je espérer d’un homme qui écrit sûr de lui que lorsqu’une femme twerk c’est pour montrer à son Ex ce qu’il manque ou qui dévoile le comportement de la femme qu’il venait tout juste d’épouser lorqu’il a mangé toutes les glaces Snickers ? Un homme qui au fond hait la femme ? Hum.
Le poids de mes afflictions furent difficiles à porter et supporter au cours de ces années (et le sont toujours) tant elles furent intenses, pendant longtemps je me couchais et me réveillais dessus, la sortie fracassante que j’avais effectuée dès 2019 n’était pas anodine, mon trauma enfuit au fond de moi est remonté à la surface, c’était le moment de m’exprimer ma douleur m’étouffait, m’encombrait donc peu importe qui vivait quoi avec qui comment dans quelle position j’ai estimé que le timing m’était propice, persuadée que me démuseler me soulagerait, me libèrerait parce que je ressentais le besoin de parler dans le but de dénoncer les violences que ces gens m’ont fait subir, rien d’autre !
Ni libérée, ni soulagée, mais triste à ne plus vouloir vivre
C’est une réflexion qui nourrit mon esprit chaque jour, c’est un désir qui réside dans mon coeur, mourir pour ne plus souffrir, ne plus avoir de flashs de ces agressions, lorsque j’y repense mon coeur se resserre, il bat très vite et reçoit comme des décharges électriques, il m’arrive de souhaiter fermer les yeux et ne plus me réveiller, car ces souvenirs me hantent, ils me font extrêmement mal. Je rencontre des difficultés à passer outre ces évènements choquants parce qu’ils m’ont rendu faible, ma fragilté est telle que je ne parviens pas à trouver un équilibre entre ce que j’ai expérimenté après ces dénonciations et les joies, la fierté qui peuvent en découler si je me bats pour en faire une force, je me sens complètement détruite.
Vous savez, ce qui m’aurait guérie, apaisée de ces souffrances internes qui me rongent, c’est d’avoir une conversation avec tous les concernés, bien évidemment ce n’est plus envisageable aujourd’hui puisque je leur ai lancé beaucoup d’invectives et de menaces parfois graves (sacrée moi va !), mais comprendre pourquoi ils m’ont infligée de tels préjudices et les raisons qui les ont motivées à agir aussi violemment m’aurait certainement déchargée.
Vraiment, j’aurais apprécié qu’ils reconnaissent le mal qu’ils m’ont fait ainsi que ses conséquences et son poids sur ma santé mentale ensuite qu’ils me demandent sincèrement pardon, je ne l’exige en rien mais cette initiative aurait contribué à ma guérison, je le mérite, si cette reconnaissance avait été initiée quelques années plus tôt elle aurait bien évidemment empêchée tous ces clashs car le feu de ma colère et ma haine aurait été automatiquement éteint.
Les mettre face à leurs actions passées sur ma personne en agissant avec fureur n’était pas plaisant pour moi, descendre aussi bas et proférer des injures déshonorantes, faire preuve d’hystérie ne m’a pas grandie, je ne suis pas fière d’avoir dévoilé ce côté sombre mais je m’en sentais obligée, je me suis exécutée à la voix du « petit démon sur mon épaule gauche », c’était la justice que je me rendais en leur remémorant les faits avec fracas.
On m’a souvent préconisée de ne jamais attendre leurs excuses car tout le monde ne possède pas le même bon coeur. Je dirais plutôt que nous n’avons certainement pas la même perception de la gravité de ces faits, ils estiment qu’ils n’ont pas à fournir d’explications parce qu’ils se complaisent dans les actes qu’ils ont posés, mes réactions leur ont procuré de la satisfaction, surtout que je leur ai servi pléthore d’éléments tels que des messages et audios virulents qui leur ont permis pour justifier leurs comportements de voyou.
Leur refus d’assumer la responsabilité de leurs actes m’a rendue tellement agressive, frustrée et aigrie, ils m’ont profondément affectée s’ils savaient, surtout l’un deux, surtout lui… Il faut dire que je serai à jamais choquée d’avoir été agressée par des chrétiens membres assidus de leur église et un homme que je considérais avant tout comme une bonne connaissance amusante et drôle (Eddy).
Me confronter de nouveau à ces évènements traumatisants par le biais de l’écriture a engendré un choc émotionnel trop puissant, les répercussions sur ma santé mentale sont là, cela m’est impossible de les combattre, c’est un adversaire dont j’ai l’impression ne jamais réussir à vaincre, à mon plus grand désespoir je n’ai pas le pouvoir de changer positivement ces chocs, l’épine est plantée dans mon coeur, il saigne, je me vide de toute mon énergie et cela me fatigue à y vouloir mettre fin…à mes jours. Sur le plan psychologique c’est tellement difficile que je n’arrive pas à mener mes projets jusqu’au bout. J’ai si mal. L’un de mes regrets relatifs à ces agressions est qu’ils n’aient pas asséné le coup fatal qui m’aurait conduite six pieds sous terre.
Seront tourmentés de génération en génération ceux qui ont blessés leur prochain sans s’excuser, ainsi soit-il
Avant de tenter toute manoeuvre et que mes agresseurs se rejouissent d’une éventuelle annonce de mon décès, je tiens à dire ceci : La malédiction sans cause n’a point d’effet, très bien, dans l’autre sens qu’en est-il de celle avec cause ? Elle doit certainement avoir de l’effet n’est-ce pas ? Moi j’en suis convaincue !
Vous savez, j’ai tant récité certains psaumes en y insérant les noms de ceux qui m’ont offensés, encore et encore à en perdre haleine, j’ai passé des nuits en pleurs, à me rouler par terre de douleur en les citant un à un. J’ai gravé quelque part sur cette Terre les souffrances que tous mes agresseurs m’ont infligées et je crois que mes prières impacteront leurs vies, ce sont mes cris vers le Ciel, j’y ai mis toute mon âme qu’ils ne peuvent restés silencieux. Sprituellement ils ne demeureront pas impunis car je leur ai déposé une plainte auprès des Instances Célestes. Mes prières les consumera à petit feu, tant pis si je ne suis plus vivante pour admirer leurs rétributions.
Les causes de l’effet que mes paroles auront dans leurs vies sont lesquelles ?
En plus de l’agression, des biens m’ont été volés comme mon portable et mes papiers par Lajoie Mbanza et les sous hommes qui l’avaient accompagnée ce sous les ordres d’Élisée Mbanza puisqu’il fut le commanditaire, ils ne m’ont jamais retournée mes affaires ou n’ont fait ne serait-ce qu’un geste pour me les rendre. En me dépouillant ils ont contracté une dette, qui se manifestra d’une façon ou d’une autre au sein de leurs familles respectives tant qu’ils ne s’en acquitteront pas.
Mon corps, celui qui m’appartient et dont j’ai pleinement et librement la disposition a été quelque peu sali par Eddy Malabar, je peux comprendre que certains hommes considèrent le choix d’une femme à rompre comme une attaque contre leur virilité et agissent comme des brèles dépossédées de leurs pénis lorsque cela arrive, il n’avait cependant pas le droit de me traumatiser en m’agressant sexuellement, je l’avais quitté en « bonne et due forme » sans le vexer ni lui manquer de respect en étant totalement transparente avec lui, il n’avait pas à se venger sur mon absence de sentiments en agissant comme il l’a fait, je ne le méritais aucunement ! 70% des hommes ont été introduits à la sexualité par le biais des attouchements et du viol dans leur enfance, de sa propre bouche Eddy Malabar m’avouait que : « sa mère mettait son zizi dans sa bouche lorsqu’il était petit afin de le développer », imaginez ma tête face à ses propos ! Me voyant choquée il m’a dit : « Ah bon tu ne savais pas que ça se faisait ?! » heuu nigga where ? Je comprends que ce minime personnage ne faisait que reproduire ce que l’esprit pervers régnant dans sa famille lui a ordonné d’exécuter, la coutume veut que le femme noire trouve une excuse aux fautes commises par l’homme noir, voilà non ? Il n’a pas agit délibérément ce sont les liens familials qui l’ont poussés à me souiller, bien il en boira le calice jusqu’à la lie dans les années à venir, la gent féminine de sa postérité ne sera pas épargnée par cet esprit, je proclame qu’il inquiètera son propre camp familial, qu’il en soit ainsi !!
Ils pourront s’égosiller à déclarer : « au nom de Jésus sans effets ! » ça ne marchera pas, non seulement cette exclamation signifie rien mais surtout je le réitère, ils n’ont pas effacer leurs méfaits à mon égard, ai-je reçu de la part de chacun un seul pardon ? Jésus-Christ est donc dupe ? N’entend t-il pas mes accusations les concernant ? Il aurait bien sûr préféré que je pardonne idem pour eux, je n’en disconviens pas mais je ne veux pas.
Pourquoi je garde rancune au lieu de leur pardonner ?
Un jour, j’ai regardé une prédication du Pasteur Marcello Tunasi sur le pardon, j’ai compris de cet enseignement que Dieu ne peut agir en juste Juge que si nous pardonnons véritablement à ceux qui nous ont offensés, en somme tant qu’on ne leur pardonne pas la Justice que nous lui sollicitons ne se produira pas ! J’avais trouvé cela puissant c’était une vraie révélation !
Relativement à ma situation, Dieu m’est témoin, je jure en son Nom avoir prié pour que toutes ces histoires prennent une tournure plus positive, plus triomphante, au fond de moi j’avais pitié d’eux et du retour de flamme dans leurs vies, je ne voulais pas qu’ils payent mais qu’ils s’évitent le karma en agissant comme de vrais enfants de Dieu, de dignes chrétiens.
Durant une longue période de ma vie MON OBJECTIF ÉTAIT CLAIREMENT D’HUMILIER SATAN en me réconciliant avec eux, a contrario cette détestable créature a dansé son ndombolo le plus enflammé sur ces histoires et ne cessera d’en esquisser ses meilleurs pas car indépendamment de ma volonté il n’y aura pas de pardon ni de ma part ni de la leur.
Pourtant jétais prête à leur pardonner et oublier seulement s’ils reconnaissaient leurs torts, cependant les jours passaient je ne recevais aucun message, pas un seul appel, personne ne prenait la peine d’organiser une conversation de groupe ou une rencontre qui permettrait à chacun de s’expliquer et libérer son Être, nada, je n’allais certainement pas m’en charger, surtout que je m’y étais déjà attelée pour me faire à nouveau descendre.
Force est de constater que l’orgueil domine dans leur coeur au point d’y entrouvrir une porte permettant aux sentiments hostiles et diaboliques de s’y installer, occasionnant ainsi une incapacité de leur part à poser un acte aussi honorable et libérateur que de (me) demander pardon. Ils ont certainement imploré la miséricorde de Dieu mais de mon côté je continue de les accuser car je n’arrive pas à leur pardonner, je m’imprègne de la même énergie qu’eux voilà, pian !
Je vais me me répéter car c’est une vérité incontestable qui me plaît à ressasser, ils n’auraient jamais découvert ce côté si venimeux, nuisible, acerbe, criard que je leur ai exposé s’ils avaient entrepris cette inititive depuis, c’est tellement frustrant, surtout Élisée, celui-ci a tout entendu, tout lu, tout sauf rien, mes vociférations lui sont clairement ressorties par le fion si je puis dire lui faisant froncer des sourcils. Je lui ai envoyé tellement de messages qu’il s’est bien sûr empressé d’utiliser contre moi pour se dédouaner, tout ce que je lui ai déblatéré fut du pain bénie qu’il transférait à mon papa par exemple, le but était de prouver que j’étais la méchante mal élévée que lui était le gentil qui n’avait rien fait donc mon comportement était de ce fait injustifié ! C’est bien de se plaindre de la virulence des propos d’une femme après l’avoir blessée et anéantie moralement, puis, par la suite monter au créneau pour se démener à intégrer dans l’esprit de qui veut l’entendre et le croire qu’elle est folle et mauvaise, ce qui est plus honorable pour un homme est de faire preuve d’intégrité en reconnaissant au travers de la réaction de celle-ci, son comportement qui puisait intolérable, qu’il l’a profondément blessée émotionnellement. Dieu sait que je suis passée par tous les états, tous ! J’ai même affirmé (par mail) que je demandais pardon ou pardonnais simplement parce que je m’apprêtais à commettre l’irréparable ?! Je n’en pouvais simplement plus ! Une personne qui me fait ressentir de telles émotions négatives est mon ennemi point. Lorsqu’on porte de l’amour pour son prochain on ressort le meilleur de lui et non le pire.
Tant qu’on vit nous avons l’opportunité de corriger nos erreurs avant de partir, profitons-en !
La balle est dans leur camp, d’ailleurs elle l’a toujours été, elle rebondira sur la tête de chacune de leurs descendances, et dire qu’ils peuvent échapper à cette sentence si leurs aïeux auraient fait le nécessaire, en payant leur dette, en demandant pardon, en corrigeant simplement leurs érreurs du passé pour leur éviter cette « malédiction », ils en ont la possibilité car ils vivent encore, mais ils préfèrent serrer les babines tout en endurcissant leurs coeurs, pourtant je suis la seule qui peut adopter cette attitude, je suis leur victime.
Cela me rassure fortement de ne pas avoir en ma possession leurs affaires que j’aurais volé donc aucune dette physique et encore moins spirituelle à leur rembourser, de ne pas avoir négocier dans un élan de vengeance l’agression sexuelle d’un des enfants d’Eddy Malabar, comme vous l’aviez lu des complots machiavéliques contre eux j’en ai préparé, ce qui est tout à fait compréhensible vu leurs outrages envers moi, mais vous le savez je n’ai pas mis à exécution mes plans (ouf pour eux), me venger, rendre la mal par le mal était THE projet de ma vie contre eux, finalement je n’ai juste pas le coeur foncièrement sombre encore moins le courage d’accomplir de telles actions. Suis-je en réalité LA meilleure personne ? On dirait bien !
Est-ce que je regrette de ne pas avoir agi semblablement à eux ? Je ne sais pas, un peu oui, je remarque que les gens méchants souffrent moins des préjudices qu’ils commettent dans notre vie, ils ont un certain pouvoir ! La vie est belle lorsqu’on blesse autrui sans conséquence, on marche la tête haute avec une satisfaction jouissive certain que le monde nous appartient, comme si nous ne mourrons plus ou que Dieu nous préservera du châtiment de la tombe et du jugement dernier.
Se clôturent les chapitres de ces tristes épisodes de ma vie
Beaucoup d’entre vous me demandent pourquoi on en me voit pas/plus, vous savez certaines personnes lorsqu’elles ne sont pas totalement guéries elles estiment qu’il leur faut du temps pour se montrer à nouveau, donc elles se cachent. Cette histoire m’a façonnée négativement, me prendre en photo, sourire, rire, me filmer bref redevenir celle que j’étais est compliqué. Actuellement je ne me sens pas assez et ce sur tous les points.
Tout le monde n’a pas la permission d’accéder à ce côté vulnérable de ma personne j’en suis parfaitement consciente peu importe ça ne m’effraie plus car je sais que le malheur nous frappe tous, personne ne peut se vanter de vivre sans problèmes, donc de ce fait je me libère de cette peur et parle de mes malheureuses expériences sans honte. Certains s’en réjouiront probablement que Dieu leur épargne les plaies de la vie, d’autres seront mal à l’aise, choqués ou atrristés face à certaines révélations, je ne sais quoi dire par rapport à ça si ce n’est de me comprendre et me pardonner de vous heurter si tel est le cas.
Notez je vous prie que je ne m’adonne à aucun chantage émotionnel, je ne recherche la compassion ni ne sollicite l’aide de personne. Je m’occupe de moi-même comme je peux. Le meilleur de moi est étouffé pour l’instant seulement, j’avance pleine d’espoir et le plus sereinement possible vers de plus beaux lendemains.
Ainsi et ici s’achèvent les chapitres de ces tristes épisodes survenus dans ma vie il y’a 10 ans que j’ai décidé de vous raconter des années après. Il me fallait les extraire par écrit ou encore en hurlant, je devais dénoncer les acteurs de mes agressions car ils n’ont jamais daigné s’excuser, c’est le droit que je me suis octroyée.
Retenez je vous prie qu’en aucun cas je n’ai essayé de garder le contrôle sur le narrative en tirant la couverture de mon côté, je suis aussi à pointer du doigt sur la manière dont j’ai géré certaines situations surtout avec les membres de la famille de Jésus, les chrétiens de bas étages, méritaient-ils mieux après ce qu’ils m’ont fait ? Tous les faits que j’ai relatés sont véridiques, c’est tout autant MA vérité que LA vérité. Je ne reviendrai plus jamais sur ces évènements traumatiques je laisse volontiers le temps et mes prières agir, même 40 ans après j’entendrai leurs grondements dans leurs vies ou dans l’Au-delà.
Chers(ères) lecteurs et lectrices, je vous remercie de tout coeur de m’avoir lue.
Clap de fin !
Love,
Diane.