De la même manière que la Bible ne commence pas par l’Évangile de Saint Pierre, nous ne pouvons pas non plus nous engager à raconter la vérité d’une histoire sans nous rapporter à la Genèse de celle-ci

Diane

INTRO

Rédiger comme un livre mais s’en est pas un !
Mon intention n’est pas uniquement de dresser un portrait négatif du concerné et notamment de sa sœur bien qu’une irrésistible pulsion de les pulvériser à l’écrit m’habite, cependant je me vois obligée par souci de transparence et d’honnêteté de commencer à raconter cette histoire par le début avec franchise, cela dispersera un peu l’ombre du terrible karma que j’ai sommé de le poursuivre pour le mal qu’il a fait et mettra en avant un autre personnage.

J’ai souvent jeté de l’essence sur eux et les ai incendié d’injures de toutes sortes, je reconnais avoir parfois exagéré dans les propos prononcés à leur encontre, en effet il n’a pas été mauvais en tout, c’est l’immense blessure qu’ils ont causé au plus profond de mon être, et non mon âme car j’en serai décédée, qui m’a souvent poussée à exprimer ma souffrance avec véhémence sans me maîtriser. Vous savez je m’identifie au lion, et, lorsqu’il a été blessé lors d’une attaque il devient nerveux, contrarié, se sentant dérobé de son pouvoir un désir de vengeance l’envahit alors, jusqu’à ce que cela n’arrive, il gardera à l’esprit l’image de l’animal ou l’Être qui l’a touché jusqu’au jour où il l’attrapera et le déchiquettera, ainsi j’ai marché comme un lion pendant près de dix ans concernant les Mbanza, dix longues années où ils n’ont cessé de flotter dans mon esprit, j’ai tant espéré, rêvé du jour où j’aurai enfin pu saisir une occasion de les tuer, le mot est fort et sombre mais il convient parfaitement pour définir ce que je ressens depuis longtemps, ce profond désire de revanche je l’ai porté dans mon coeur depuis toujours, c’est la conséquence d’une abyssale (j’adore ce mot) rancœur et haine que je leur porte.
Je suis parfaitement consciente que je m’expose à des poursuites judiciaires de leur part car mine de rien j’ai proféré des menaces de mort à l’endroit de ces deux maudits égarés maintes et maintes fois, il m’arrive de continuer à le faire car je m’en déterre la carotte de leurs immondes bouèves, écoutez, si ce Dieu avait vu ce qu’il s’était passé qu’il me rende justice à la place des Hommes, cela fait des années que j’attends qu’Il le fasse d’ailleurs, Il sait que les intentions qu’ils avaient promenés dans leurs cœurs à mon égard et ont exécuté ce jour là, JE NE LES AURAIS JAMAIS AU GRAND JAMAIS TRANSPORTÉ ET DÉPOSÉ DANS LEURS VIES, EUX L’ONT FAIT MOI JE N’AI PAS ENCORE AGIS.
Je vous préviens le récit sera non seulement long car il comportera plusieurs parties (bien évidemment) mais aussi et surtout sera détaillé, ce qui veut dire que des séquences intimes seront spécifiées, j’avais envie de les intégrer tout simplement car c’est important pour moi, les adeptes de la bien-bien-pensance peuvent d’ores et déjà se pendre !

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Notre rencontre

J’ai rencontré Élisée Mbanza via Skyblog, sa sœur Lajoie m’avait contactée via ce réseau social où je tenais un blog dans lequel j’écrivais depuis longtemps mes textes basés sur différents sujets tels que les relations hommes/femmes et de sociétés.
Elle s’était approchée de moi afin de me faire part de la volonté d’Élisée de faire connaissance avec moi, je lui avais tapé dans l’œil comme on dit, donc il souhaitait naturellement que l’on soit mis en contact, il me courtisait via sa sœur si je puis dire, aujourd’hui j’y pense était-ce vraiment elle derrière l’écran ?

J’ai voulu, bien évidemment, avoir premièrement un petit aperçu de son apparence, j’ai alors demandé à Lajoie une photo de lui, elle me dirigea vers son blog où elle l’avait publié. Après l’avoir vu j’ai pensé qu’il était charmant, je me rappelle très bien, sur la photo il tenait tout sourire une peluche qu’il serrait tendrement, je l’ai trouvé très attachant du moins c’est ce qui transparaissait de lui, de cette photo, il semblait être charmant et bienveillant.
Cependant, je ne pouvais pas à ce moment-là déduire s’il était réellement beau car vous savez sur une photo tout le monde a un bel aspect, et puis si ça se trouvait il avait un handicap ou que sais-je encore (sans être méprisante et irrespectueuse envers les personnes à mobilité réduite). Toutefois, je le trouvais déjà très attirant, ce qui pour moi était encore plus adorable et tellement rassurant c’est qu’il ait recouru à sa sœur afin qu’elle soit le pont qui le permettait de venir à moi, une manière de procéder qui me confirmait qu’il était indéniablement un homme qui sait faire preuve de déférence et est timide.

Le contact ayant été effectué au préalable, on s’échangeait tout d’abord nos “blaz” MSN sa photo de profil était un nounours qui tenait dans sa main un coeur en sang un truc comme ça, “FAITH” était sa phrase de statut, nous nous échangions nos numéros dans la foulée afin d’apprendre à nous connaître plus amplement, on alternait entre conversations téléphoniques et MSN, elles duraient des heures et tournaient autour de sujets divers notamment la religion, il me révélera d’ailleurs lors d’un échange qu’il est fils de pasteur, fervent chrétien fréquentant assidûment l’église de son papa, je fus quelque peu étonnée car à vrai dire c’était la première fois que je communiquais avec un homme comme lui, j’appréciais beaucoup l’enthousiasme et la fierté qu’il affichait à l’idée d’appartenir à l’assemblée montée et créée par son père, relativement à ses croyances je n’étais pas tout à fait sur la même longueur d’onde que lui, cela me rassurait qu’il soit « chrétien » je l’étais aussi mais de confession catholique, me concernant lorsque je l’ai rencontré je connaissais Dieu, dont je croyais et proclamais que Jésus-Christ est le fils que j’ai accepté comme Seigneur et Sauveur, à Metz la ville d’où je suis originaire et grandi, je suivais des cours de catéchisme à l’école primaire Descartes 2, j’ai étudié dans un collège et un lycée privés catholiques qui sont Sainte-Chrétienne et Anne de Méjanès, quand j’y repense il y’avait dans nos classes des Mohamed, Farid, Karim, Fatima, Elliès, Saïda, Toufik, oui des musulmans étaient inscrits dans ces établissements chrétiens, c’était frappant, toutefois on ne le voyais pas, je veux dire par là qu’on ne le percevait pas comme une anormalité, si je vous dis que dans les classes il y’avait des croix et des prêtres qui y entraient de temps en temps pour prier le croirez-vous ? Lorsque cela se produisait, on se levait tous sans exception, néanmoins les élèves musulmans ne faisaient ni la prière ni le signe de croix bien sûr.
J’ai baigné dans cet environnement où régnait le respect des autres et leurs confessions, je n’ai jamais subi l’attaque d’un élève musulman à mon égard me faisant part de son animosité envers moi et mes croyances en Jésus-Christ.  

J’allais à l’église, ce de manière assidue, participant avec ma famille et mes amies à la messe de 18h le samedi à l’église Saint-Jean, on se rendait à celle-ci histoire d’avoir la conscience tranquille lorsque nous ne voulions ou pouvions pas nous rendre à celle du dimanche, cela nous permettait de faire la grasse matinée l’esprit en paix, la messe du dimanche était célébrée par notre prêtre Gérard qu’on aimait tant elle débutait à 10h à l’église Saint-Pierre, j’y avais fait ma communion jusqu’à la confirmation, pour être pratiquante je l’étais bien que je ne comprenais pas trop, c’était ancré en moi, j’ai le souvenir que l’on ne nous imposait pas le chapelet, ni les statuts des Saints ou autres, évidemment que le Christ était représenté par une image dans ces églises ce qui est mal nous le savons, j’en étais pas heurté d’ailleurs Jésus-Christ était dessiné en noir à l’église Saint-Pierre, ce qui était assez sympa,  il n’y a jamais eu de dérapage, on ne nous forçait pas à adorer un autre Dieu, des esprits ou autres, les enseignements se concentraient sur le seul et unique Dieu ainsi que Jésus-Christ son fils, très peu Marie.

Face à Élisée et ses convictions je me sentais limitée quand il me parlait de Dieu, lui est évangélique, tout était un peu différent, il m’avait l’air plus “avancé” , ses connaissances étaient en quel sorte développées, du moins le croyais-je bêtement, lorsque je lui parlais des miennes il n’était pas très convaincu, ni réceptif, lui était du bon côté jugeait-il… 

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Notre relation

Arriva le temps du premier rendez-vous, le jour où nous devions enfin nous voir pour la toute première fois, j’étais excitée, joyeuse, contente, totalement prête, il m’avait invité au cinéma du Grand Rex que je ne connaissais pas, il me l’a donc fait découvrir, lorsque j’ai aperçu Élisée au loin s’approchant vers moi, mon cœur a chaviré, il était tout simplement exquis, il répondait à mes critères physiques c’est-à-dire un bel homme noir, grand (très important car je ne suis pas attirée par les hommes petits), svelte, aux lèvres pulpeuses sur lesquelles s’illuminait un sourire séducteur et ayant une présentation soigné, lorsqu’il m’a saluée j’ai littéralement craqué, sa voix était suave !
Quelques mois auparavant j’entretenais une relation assez « gag » avec ce GARÇON envers lequel je n’ai pas ressenti la même chose quand je l’ai vu la première fois, mais alors du tout autant vous dire combien j’appréciais ce changement et le moment.
Son avis à l’égard de mon apparence rejoignait sans aucun doute le mien, je lui plaisais aussi, de ce fait, nous avions décidé après ce rancard d’entamer une relation amoureuse, sans tourner autour du pot.

Notre histoire était belle, pas parfaite encore heureux, mais elle valait la peine d’être expérimentée, je rentre de ce fait dans les détails et vous explique pourquoi.
Durant notre relation Élisée m’a traitée comme une Reine, pas celle de sa vie car nous n’étions pas mariés, mais il me faisait sentir comme telle, il était tout simplement d’une gentillesse sans pareille si bien qu’en sa compagnie je me sentais en sécurité, protégé, dans ses bras je me savais aimée il me le prouvait par les attentions qu’il me portait, il était avenant, très présent et disponible, tous les moments de qualités que l’on passait à deux il en était l’initiateur, il s’occupait de tout, il se conduisait tel un vrai homme dans le sens où il gérait les dépenses de nos sorties malgré son jeune âge à l’époque il avait déjà cette mentalité d’homme responsable en fournissant des efforts et s’impliquant financièrement pour subvenir à mes/nos besoins et m’offrait des cadeaux, par exemple pour notre première Saint-Valentin il avait fait confectionner un jolie T-Shirt rouge avec son nom « Elysée » calligraphié en blanc je trouvais ça tellement mignon, c’était nouveau pour moi, pour l’histoire avant lui j’avais eu affaire à un GARÇON qui avait passé son temps à me bouder lors d’un rendez-vous parce qu’il ne pouvait pas régler la facture, il se plaignait de ne pas travailler donc se sentait inférieur à moi car j’avais un emploi ! C’est celui avec lequel j’ai vécu une relation « gag », oui oui, un pauvre timbré !
J’avais pris une photo avec ce T-Shirt puis publié sur mon Skyblog, ce qui ne le gênait pas lorsqu’il l’a vu. 

J’aimais tant les actes qu’Élisée posait et ces déclarations à mon égard en étaient toujours accompagnés, c’était un véritable gentleman tellement respectueux et sérieux. Je vivais complètement en apesanteur parfois comme placée sur un nuage de bonheur créé par l’amour qu’il m’offrait.
Il n’a jamais cessé de me prouver son amour, une anecdote qui le traduit, lorsque j’étais vendeuse chez Etam à Châtelet, avant de me rendre au travail à 9h, lui m’appelait chaque matin entre 6h30 et 7h pour s’assurer que j’avais bien dormi, m’encourager par des belles paroles et me souhaiter une belle journée, TOUS LES MATINS ! J’en avais des papillons dans le ventre, en toute réciprocité je le lui rendais cette amour, on le partageait.

L’une des plus significatives marque de considération qu’il m’avait fait part a été le jour où après presque 3 mois de relation, je commençais à ressentir l’envie que l’on assemble nos corps, réaction naturelle et tout à fait normale puisque je suis humaine, un désir intense m’enflammait et une grande curiosité de découvrir son corps d’homme m’animait, le groupe 3LW sur le titre « curious », que je vous invite à écouter, le décrit comme je le ressentais, j’étais curieuse.
J’en voulais un peu plus avec lui, non que je m’ennuyais dans notre couple, absolument pas, « mon énergie sexuelle féminine » réclamait simplement la sienne, j’imaginais à chaque fois comment ça se passerait, cela germait dans mon esprit, mentalement, émotionnellement, spirituellement j’étais bien disposée.
Un soir au téléphone, assis sur le bord de mon lit dans ma chambre aux Mureaux (78) je lui en avais parlé, et sa réponse fut celle-ci mots pour mots je m’en souviens TRÈS bien : « je ne vais pas encore te toucher, pour moi tu es une femme à respecter, t’es pas comme les autres, je te considère vraiment, t’es pas n’importe qui, patientons », c’est tout, imaginez l’expression de mon visage ! Qu’est-ce qu’il me pondait comme discours ?! me disais-je ! Il est clair que je ne saisissais pas ce qu’il me transmettait comme message, j’en étais étais vexée, je craignais surtout qu’il ne partage pas les mêmes sentiments que moi, la vérité est que je n’ai pas reconnu au travers de son langage le respect qu’il portait envers ma personne et mon corps.

Avant Élisée j’ai connu trois GARÇONS dans ma vie, une amourette innocente (bisous sur la joue, promenade au parc puis on rentrait à la maison) et deux « copinages » chacun m’aimait à sa façon, avec l’un on avait testé j’avais tellement détesté que j’ai fui, je l’avais « ghosté », avec l’autre en terme de sexualité j’étais souvent confrontée à des ultimatums, quand je refusais de coucher je subissais une attitude fuyante de sa part, il me punissait d’un manque d’attention lorsque ce n’était pas possible pour moi de m’adonner à des relations sexuelles, cela me rendait triste et me faisait beaucoup souffrir bien que je n’étais pas amoureuse de lui mais cela me peinait, pour ne plus avoir à supporter tout cela, je le faisais, non pas par envie ni plaisir car je ne ressentais rien, mais par complaisance, résultat des faits j’endurais des douleurs et des saignements.
Je voulais savoir de quoi s’agissait ce dont beaucoup de gens parlaient et semblaient être accro, le sexe, il fallait que je me renseigne, cela m’intéressait, dans nos familles africaines c’est un sujet tabou inutile de tenter une manœuvre à l’évoquer, j’en parlais donc avec des copines, des cousines, ce qu’elles me racontaient me faisait sentir comme différente, en retard sexuellement, je n’étais pas au même niveau qu’elles ni n’expérimentais le plaisir sexuel comme il se devait, qu’est-ce qu’il se passait en moi ? Je décidais alors de regarder en cachette des films érotiques, c’était mon seul « support » d’informations détaillés, à la vue de ces femmes exprimer leur satisfaction, cela m’intriguais et me fascinais, elles avaient l’air d’aimer les rapports, de leur corps se dégageaient une telle liberté et une sensation de plaisir, je me posais alors des questions, pourquoi je ne réagissais pas comme elles ? Pourquoi avais-je mal ? J’étais sûr d’avoir un problème, je ne me rendais pas compte que mon corps ne répondait pas car je forçais, nos énergies avec ce GARÇON étaient opposées, raison pour laquelle tout se bloquait, nous n’avions pas de connexion, mon corps ne réagissait pas car un élément essentiel entre nous deux manquait : le véritable amour. 
J’avais peur d’être quittée, de devoir me séparer de mon petit copain, pour que cela ne se produise pas j’exécutais, consentante, ce qui m’était demandée, je prenais sur moi, le plus triste est que je faisais semblant d’aimer cela, je simulais comme je l’avais vu dans les films, je n’y connaissais absolument rien à la sexualité, à part l’hygiène, je ne savais comment fonctionnait mon corps et encore moins mon vagin et ne parlons même pas de ce petit organe qu’on appelle clitoris à la limite je demandais ce qu’il foutait entre mes jambes persuadée qu’il avait la même fonction que l’urètre, j’étais perdue qu’est-ce que j’étais sensée faire pour ressentir du plaisir ? Comment devais-je bouger ? Je continuais quand même à forcer, on ne m’expliquait ni ne me guidait, cependant m’y adonner me confortais dans l’idée que je le garderai au moins et maintiendrai ma place dans sa vie, j’étais convaincue que cela me garantirais qu’il soit réactif à mes appels et messages, qu’il accepterait de me voir sans rechigner, effectivement lorsque le sexe était impliqué, j’avais droit à des petites marques d’attentions, j’étais contente car je voulais être aimée et plaire, je croyais que les relations sexuelles avec un homme équivalait l’amour qu’il m’offrirait, que cela signifiait probablement qu’il m’aimait, car j’avais appris que faire l’amour c’est un acte naturel qui confirme et consolide l’amour dans un couple, à pratiquer dans le mariage certes, mais ça n’en demeurait pas moins comme tel, vous l’aurez compris, je souffrais d’une forme dépendance affective et naïveté aiguë, j’ai souvent été négligée, malmenée, trahie, mise face de l’infidélité que je prenais comme une punition qu’il m’infligeait parce que j’évitais les rapports sexuels dû au manque de sensation agréable justement et sentiments d’amour, je prétextais souvent que j’avais mes règles, car je n’aimais pas nos ébats, qu’est-ce que je subissais des remarques de cette absence de sexualité ! Une pression !
Comment expliquer ma situation et ne pas passer pour une fille bizarre ? Cette relations s’était terminée au bout de deux ans.

Autant dire qu’en ayant été confrontée à autant de trauma sexuels, émotionnels, affectifs, je ne pouvais pas comprendre les paroles d’Élisée exactement comme ses intentions. M’imposer la patience alors qu’auparavant on me pressait, c’était pour moi étrange. 
Il me faisait découvrir une autre facette de l’amour, prendre le temps de construire une relation avant d’y introduire la sexualité, or j’étais sûre qu’il ne me désirait pas et si c’était le cas se poserait alors la question de ses sentiments réels envers moi, que tentait-il de me faire entendre ? Je ne pouvais pas lui faire changer d’avis je m’étais donc alignée à lui pour patienter jusqu’au jour où il sera fin prêt, c’était en quelque sorte sa condition sine qua non, il l’avait décidé ainsi, je cessais de ce fait de cogiter.

Les jours passaient puis un jour son énergie sexuelle masculine s’est manifestée, était désormais inclus dans notre relation la sexualité. Je passais de merveilleux moments, ce fut une clef qui ouvrait mon Être, un instant MAGIQUE, cela valait vraiment le coup d’attendre, tout y était surtout l’amour que nous éprouvions l’un pour l’autre, élément qui pour moi était essentiel retransmit dans notre façon de toucher et nous regarder , c’était la crème sur notre gâteau ! Je tombais à chaque fois profondément amoureuse de lui dans ces moments, je l’aimais tout simplement, nous vivions d’amour et voilà qu’il déversait en moi son eau fraîche me transportant ainsi dans les tréfonds du plaisir, Mon Dieu que j’étais heureuse, il était au top, ses gestes, ses mots dénués de toute forme de perversion, il savait s’y prendre et ses performances étaient magistrales, j’étais très satisfaite, oui j’ai écris le mot “satisfaite”,  j’étais jeune je ne comprenais pas tout de ce plaisir mais j’en aimais la sensation, c’était très intense, lorsque j’y repense je me rappelle avoir été soulagée parce que cela confirmait que je n’avais aucun problème, je me sentais bien, je me sentais femme ! 
Naturellement, je croyais qu’il était l’homme de ma vie, je souhaitais qu’il le demeure au-delà de tout, seulement une chose me préoccupait…

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Prochainement : l’évolution de notre relation

(Je n’amplifie pas les termes employés pour décrire notre relation, son attitude et ses sentiments envers moi lorsque nous l’entretenions, je vois venir certains qui vont penser que je la « glamourise » et y verse du miel, je n’invente RIEN, c’est ce qu’il était, c’est ce que nous étions, je rédige avec mon coeur c’est-à-dire en toute sincérité, c’est déjà assez chiant de le reconnaître n’en rajoutez pas une couche en inbox lol).

Rédigé par Diane : texte protégé par des droits d’auteur – inutile de plagier d’autant plus que c’est MON histoire.

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